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Le FESTIVAL des JARDINS 2023 dans le 06

Le FESTIVAL des JARDINS 2023 «Surprenantes Perspectives»
à Nice le JARDIN «ENTRE-LÀ» * remarquable ou drôle comme «ci-gît-feu-le-gazon» 😅😂

envie de découvrir les autres sites à travers le dépaysement, euh…. Le département ?!

1er mai, l’occasion de voir des lieux merveilleux, notamment le Château de Valrose sur les hauteurs de Nice, à la @villalescamelias au @capdailofficiel ou à @villedecannes La Villa Rothschild et la médiathèque Noaille, etc que tant d’Azuréens ne connaissent pas!

Félicitations au gagnant du prix du jury officiel, Nicolas Tomlan, La voie heraclienne, sur Grasse
🙏🏼 @denisbrogniart_off

«Le public est convié à découvrir gratuitement une trentaine de jardins grandioses, répartis dans 10 villes azuréennes ainsi qu’en Principauté de Monaco. (Concours de créations paysagères, animations et conférences)
Autant de bonnes raisons de réserver ces 5 semaines dans vos agendas !»
Charles Ange Ginésy (Département des Alpes-Maritimes)

A Nice, jardin ouvert au public jusqu’au 1er mai de 7h à 23h sur la coulée verte.

*Avec l’aide des travailleurs en milieu protégé de l’Esat de Grasse qui ont apporté la touche colorée avec les différents plants comestibles qu’ils ont cultivé ; l’Idée Originale du projet : 
@pepinpaysages 
@loseraiedupossible 
@vannerie_pierre_bosch
Une aventure solidaire grace aux bénévoles de cette action avec :
L’équipe de L’Oseraie du Possible vannerie
L’artiste, Landartiste 
@kim_cao_nest
L’équipe Pépin Paysages :
L’équipe des Compagnons du Devoir :
L’équipe Esat les Restanques de Grasse
L’apprenti du campus Vert d’Azur #NietoHoani
Et les partenaires bien sur sans qui n’est n’aurait possible non plus 😅: La pépinière Botanique de la Madonne, Vivre en Bois, Costamagna, la Société Provençale de paysage.

#festivaljardins06 #festivaldesjardins #vannerie #vanneriedart #architecturevégétale #landart #paysagiste #nice06 #vallauris #departement06 #régionsud #compagnondudevoir #tressage #bambou #osier #osiervivant #weaving #jardinorganique #chateaudevalrose #frenchriviera #cotedazurfrance #ilovenice #naturephotography #naturelovers #naturegram

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Edvard Munch, la claque!

«Préparez-vous à être secoué par le Munch du Musée d’Orsay»

avertit le magazine Beaux-Arts de septembre 22. Et Daphné Bétard titre «Edvard Munch criant de vérité». 

Cette rétrospective m’a donné envie de partir sur les traces d’Edvard Munch en Norvège, à Oslo et au-delà. En attendant, bonne lecture à vous de ce qui m’a marquée à ORSAY

UN POEME DE VIE D’AMOUR ET DE MORT

En collaboration avec le musée Munch d’Oslo, le musée d’Orsay consacre une exposition au célèbre peintre norvégien Edvard Munch (1863-1944) dont l’œuvre dans son ampleur – soixante ans de création – et sa complexité demeure pourtant en partie méconnu.

Partout, c’est vrai, dans toute cette rétrospective, Comme dans l’huile sur toile de 1915 «la lutte contre la mort » version monumentale d’un expressionnisme intense (…)

De l’intime au symbole

Autoportrait à la cigarette

1895 Huile sur toile

La 1ère peinture aboutie d’une série consacrée à un motif devenu iconique, celui du CRI.

Munch dit en effet dans un poème l’angoisse qui l’a saisi alors que, malade et fatigué, il observait un coucher de soleil, et que le ciel devint rouge-sang.

DESESPOIR

1892 huile sur toile

Nous ne mourrons pas, c’est le monde qui nous quitte. Carnets de croquis, 1930-1935

VAMPIRE

initialement s’intitulait Amour et douleur.

L’image de l’a femme-vampire qui inspire la force vitale de l’homme du poète Stanislaw Przybyszewski. Munch reprend cette interprétation et en modifie le titre. L’ombre projetée à l’arrière plan dessine une forme menaçante qui se retrouve dans de multiples variations de son oeuvre.

1895 huile sur toile

L’effet dramatique accentué par les couleurs violentes l’extrême stylisation des personnages au visage desincarnés

LE CRI

Munch a décliné à de multiples reprises le motif du Cri. Il s’agit ici de la 1ère version imprimée de l’oeuvre, dont chaque exemplaire était rehaussé à la main.

Le Cri reprend le motif du Désespoir, mais transforme le personnage au 1er plan en une silhouette hurlante indéfinie.

L’oeuvre n’est plus alors la représentation d’une expérience personnelle mais une allégorie universelle des sentiments de peur et d’angoisse.

SOIREE SUR L’AVENUE Karl JOHAN

Munch évoque ici l’habitude prise par la bourgeoisie de la ville de Kristiana de se promener chaque après-midi sur l’artère principale de la ville, Karl Johan.

Il confère à cette scène pourtant banale une dimension angoissante: les passants deviennent de simples silhouettes aux yeux fixes et exorbités, masse anonyme convergeant vers le spectateur. Un seul homme marche à rebours au centre de l’avenue, probable représentation du peintre.

LES VAGUES DE L’AMOUR

salle organisée autour du lien, sentimental. Munch le symbolise par la chevelure de la femme, qui relie, attache ou sépare. Ce motif devient un élément presque incarné, qui matérialise les relations entre les personnages et rend visibles leurs émotions.

Le BAISER

Munch participe pour la 1ère fois au Salon des Indépendants à Paris.Il réalise l’affiche de Peer Gynt d’Henrik Ibsen pour le Theatre de l’Oeuvre et quelques illustrations pour Les Fleurs du Mal de Baudelaire.

1897

J’ai symbolisé la communication entre les êtres, séparés par de longs cheveux. ondoyants. La longue chevelure est une sorte de fil téléphonique. » Projet de Lettre Jens Thiis 1933-1940

Parallèlement à sa peinture, Munch décline les motifs de LA FRISE DE LA VIE dans de nombreux dessins et gravures.

La MEURTRIERE

Cette oeuvre fait partie d’une série homogène de 6 tableaux intitulée « La Chambre Verte ».

Une pièce exiguë dont les motifs du papier peint viennent saturer l’espace, accentuant le sentiment de claustrophobie qui s’en dégage…

1907 Huile sur toile

LE DRAME DU HUIS CLOS

« Pas un de ces tableaux ne m’a laissé une impression comparable à certaines pages d’un drame d’Ibsen. » Lettre 1884

« Les Revenants » d’Ibsen

Munch se confronte régulièrement au théâtre de ses contemporains, qu’il envisage comme source d’inspiration littéraire ou qu’il s’intéresse à la mise en scène moderneMunchMunch se confronteMunch se confronte régulièrement au théâtre de ses et son nouveau rapport à l’espace dramaturgique.Et son nouveau rapportEt son nouveau rapport à l’espace

esquisse pour un décor (détrempe sur toile, 1906, Oslo)

20 septembre 22 au 22 janvier 23

Le catalogue de l’expo est une merveille pour rapporter un peu de cette rétrospective exceptionnelle à la maison.

COMMISSARIAT Claire BERNARDI, etc. Merci et bravo à tous les participants.

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Une visite lumineuse, le Musée Sorolla à Madrid

Sur le Paséo del Arte 3 Musées sinon rien : le Prado, le Thyssen-Bornemisza et le « Reina Sofía » incontournables mais tout à côté, un 4ème -absolue beauté- le musée Sorolla qui fut la maison du peintre et de sa famille depuis 1911. 

choisi par la ville de BORDEAUX pour la nouvelle grandiose expo/projection https://www.bassins-lumieres.com/fr/sorolla jusqu’en janvier 2023 -Il fallait bien cet espace grandiose pour Joaquin Sorolla- et par Milan aussi, pour une très belle rétrospective jusqu’en juin 22. (infos ci-dessous

La collection de peintures (plus de 1200 pièces) coexiste avec la collection de céramiques, le mobilier, les nombreux cadeaux et souvenirs de ses nombreux voyages à travers toute l’Espagne dont il fut sa vie -aisée- durant, le fervent amoureux et défenseur, armé de ses toiles, pinceaux et crayons.

C’est l’une des maisons d’artistes les mieux conservées d’Europe. Enfin un grand peintre reconnu et choyé de son vivant, encore aujourd’hui, le préféré des Espagnols, mais pas que !

sa très belle épouse

auto-portrait

Maitre de la LUMIÈRE -et des eaux transparentes 😃- de la Belle-époque, c’est décidément le peintre 2022/23 

Les collections sont réparties dans toutes les zones visitables de la maison, 

💗l’immense atelier de Joaquín Sorolla où se trouve un petit lit à baldaquin superbe

L’imposante maison, le vaste jardin avec ses fontaines, ses sculptures jusqu’au patio fleuri a l’intérieur (photo) ont été conçus par le peintre lui-même avec son ami architecte. 

une belle promesse de promenade « à la fraîche » pour l’été !

Très belle découverte à vous!

https://www.culturaydeporte.gob.es/msorolla/inicio.html préférez le visiter l’après-midi car par manque de personnel l’étage de la maison peut être fermé.

Le musée a été inauguré en 1932, sous les ordres de la veuve de Sorolla, qui a cédé l’édifice à l’État et a fait une généreuse donation pour la création d’un musée à la mémoire de son mari.

« Aux Bassins des Lumières de Bordeaux, un programme court est consacré à Joaquín Sorolla, l’un des grands noms de la peinture espagnole du XXe siècle. Son œuvre sublime le pittoresque des jardins, des familles, des paysages et des plages espagnoles, à travers le bleu d’une lumière douce, qui caresse les ombrelles des femmes et la houle des vagues. » Dans la lumière de Sorolla : l’art en bord de mer @connaissancedesarts 14/03/22

« … prochaine « exposition numérique immersive » sur le peintre espagnol Joaquín Sorolla. À voir du 11 février 2022 au 2 janvier 2023 dans la partie de la base sous-marine gérée par la société Culturespaces » Par Christophe Loubes journal @sudouest 27/12/2021 « Sorolla, promenades en bord de mer ». (…) thèmes liés à l’élément liquide, en adéquation avec ce lieu massif au bord des bassins à flot : 43 000 mètres carrés, dont 13 000 occupés par la société Culturespaces, filiale d’Engie, et 12 000 utilisés comme surfaces de projection. » La billetterie est ouverte. Plein tarif 13,50 €.

J’avais raté l’Exposition Joaquín Sorolla à Paris à l’Hôtel de Caumont en 2020

Lorsque l’on contemple les œuvres de Joaquín Sorolla, on voyage en Méditerranée, transporté par la blancheur éclatante des robes de ses pêcheuses, enivré par l’écume si réaliste de la mer. Dans Pêcheuses valenciennes, le spectateur a la sensation d’être sur cette plage, parmi les travailleuses, leurs paniers jaunes à la main. La mer n’est pas l’objet unique des peintures de Sorolla mais elle sert de cadre à ses représentations du peuple : jeux d’enfants, scènes familiales ou travail des pêcheurs.

Cette représentation de l’Espagne est résolument optimiste et lumineuse à travers un coup de pinceau, proche de l’impressionnisme, offrant une interprétation de la couleur et de la lumière novatrice. Les reflets d’or et de bleu de l’huile sur toile Le retour de pêche nous captivent littéralement. Notre regard se porte alors sur les bras et les jambes tendus des pêcheurs qui tentent de ramener le bateau sur la rive, nous donnant l’impression de ressentir la crispation de leurs muscles. Aux côtés de ces œuvres renommées, l’Hôtel de Caumont donne à voir de petits dessins et des esquisses à l’huile, qui éclairent d’une lumière nouvelle la conception de l’art de Joaquín Sorolla. Ces esquisses en petit format gagnent à être connues : elles permettent au peintre de tester les combinaisons de couleurs de ses compositions. Et nous pénétrons ici dans les coulisses de ses créations. https://www.arts-in-the-city.com/2020/07/03/exposition-joaquin-sorolla-a-lhotel-de-caumont/

Une exposition en Italie pour le centenaire de la mort du peintre 

Milan met à l’honneur le peintre valencien Joaquín Sorolla à travers une exposition pour le centenaire de sa mort en 2023.

Du 25 février au 26 juin, le Palais Royal de Milan accueille la première rétrospective du peintre Sorolla. Intitulée « Joaquín Sorolla. Pittore di luce » (“peintre de la lumière” en italien), elle présente 60 œuvres réalisées par l’artiste, dont 50 d’entre elles sont prêtées par le Musée Sorolla de Madrid. 

https://www.palazzorealemilano.it/en

« After the great success at the National Gallery in London, the first major exhibition in Italy dedicated to the Spanish master of light Joaquin Sorolla Y Bastida (1863-1923). Sorolla fixes on canvas the beaches of the Mediterranean and the characters that crowd them, giving us an original slice of the Belle Époque. An artist who anticipates the techniques of photography giving unprecedented glimpses, protagonist of luminism and portraitist of great international fame. »

AFFICHE de l’expo à AIX-en-Provence
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BOURSE DU COMMERCE : LA CLAQUE !

PINAULT COLLECTION / FONDATION

BRAVO MONSIEUR Tadao ANDO vous nous proposez une « toute nouvelle expérience » une rencontre inédite avec l’Art et la Création : c’est réussi !

Comme vous avez eu raison MONSIEUR François PINAULT de nous inviter à découvrir votre collection constituée depuis 40 ans et votre point de vue singulier et engagé sur l’ART des années 1960 à nos jours.

EXPOSITIONS, PERFORMANCES, conférences, projections… il y aura toujours quelque chose à voir, à entendre à la Bourse du Commerce!

Il y a longtemps que je n’avais pas eu un tel coup de foudre pour un Musée -forcément plus d’1 an de fermeture des Musées plumard euh, plus tard…- d’ailleurs ce n’est pas tant pour les oeuvres exposées que le Monument, l’édifice en lui-même témoin de notre histoire de France dès le 16ème siècle à aujourd’hui !

Dès l’entrée, vous serez saisis par cette sculpture antique au centre de l’édifice en même temps que le vaste cylindre, moderne lui, qui nous entoure: un couple géant, une chandelle qui se consume au dessus de leurs têtes, des débris de tailles diverses qui jonchent le sol et les gens qui marchent autour… C’est complètement déroutant, et c’est génialement pensé car la philosophie du lieu est donnée par Tadao Ando « l’architecture comme un trait d’union entre le passé, le présent et le futur. » En effet, quoi de mieux qu’un happening ou performance – ce qui implique la notion d’EPHEMERE- pour l’inauguration et le lancement d’un tel Musée? Impressionnant…. alors qu’est-ce?

Urs Fischer 2020

Cette « installation » est l’Oeuvre d’Urs Fischer 2011-2020 -untitled- cire, pigments, mèches, acier Certes un peu compliquée à première vue, puisque le point de départ de l’artiste est une oeuvre présentée à la Biennale de Venise en 2011 avec ce qui ressemble à une réplique de « l’enlèvement des Sabines » de Gianbologna (1579/82). Urs Fischer a repensé à cette oeuvre spécifiquement pour la rotonde avec un ensemble de chaises. Je vous passe ici les symboles ce serait trop long (scanner le QR Code 😉 Depuis le jour de l’inauguration et à chaque nouvelle expo. des mèches fichées dans les différentes sculptures sont allumées et la cire se liquéfiant, ce qui semblait pérenne s’avère fragile…Ce qui était le fruit d’un travail minutieux et précis est gagné par le hasard et l’entropie. Ce qui était formel devient informe. Le temps de l’exposition coïncide avec celui de la fonte des bougies, de leur métamorphose, dans un saisissant processus de destruction creatrice.  » Oui, on est proche de la série Hannibal Lollllll j’adoooooore.

L’EDIFICE

Tout commence avec Catherine de Médicis

À l’emplacement de l’actuelle Bourse de Commerce se trouvait en effet jusqu’au 18e siècle un vaste Hôtel particulier, l’Hôtel de Soissons. Passé de mains en mains de l’époque médiévale jusqu’à 1572, il sera racheté à cette date par la Reine Catherine de Médicis, qui créera une nouvelle résidence royale : l’Hôtel de la Reine.Passionnée par l’astrologie, Catherine de Médicis fut toute sa vie entouré d’astrologues et de savants qu’elle consultait à propos de tous les sujets. C’est donc à des fins astrologiques que cette tour fut construite, et qui a échappé en 1748 à la démolition de l’Hôtel.Côme Ruggirei, astrologue et conseiller de la Reine, lui prédit en 1571 qu’elle allait “mourir près de Saint Germain”. Épouvantée, Catherine de Médicis quitta donc précipitamment le Palais des Tuileries en construction, palais proche de l’église Saint-Germain-l’Auxerrois, et racheta l’Hôtel de Soissons, éloigné de tous lieux qui porterait le nom maudit de “Saint-Germain”.

VOYEZ comme l’APPLI en ligne est notre véritable compagnon le temps de cette visite; les audio-descriptions sont loin d’être inutiles -pardon pour la double négation- très utiles en fait je vous assure pour la majorité des oeuvres ; il serait dommage de passer à coté certaines!

Michel JOURNIAC « 24h de la vie d’une femme ordinaire » (1974) étage 1 – Galerie 3

Autre exemple probant concernant la compréhension des oeuvres, à l’étage 1 – Galerie 3: Michel JOURNIAC et ses 24 photos : « 24h de la vie d’une femme ordinaire » (1974) : 2 séries de 12 photos -c’est un homme travesti en femme qui pose 24 fois dans des scènes diverses- J’observe les gens qui passent, regardent et passent au mur suivant : très peu lisent la description sur l’appli (à écouter c’est trop chiant Lollll) dommage! car comment savoir si on ne cherche pas que les 12 photos de gauche représentent la vie quotidienne réelle (la vaisselle, le ménage, …) et les 12 à droite « la vie fantasmée » (viol, maternité, veuvage…) « …. « action photographique » (…) s’agit-il de dénoncer l’asservissement de la femme moderne, prise entre ses désirs d’épanouissement personnel et le poids des stéréotypes? Ou …(…) » bref, c’est pas forcément plus clair, on n’aime pas forcément l’oeuvre mais au moins on sait ce qu’a voulu faire ou montrer l’artiste.

Concernant l’APPLI et notamment l’AUDIO personnellement j’ai adoré les textes d’acteurs qui nous racontent l’Histoire avec un grand H et nous font voyager dans le temps. Amusez-vous à écouter les 8 scènettes historiques sous forme de dialogues, avec bruitages, très amusants on s’y croirait! Un peu moins les descriptions minutieuses voire fastidieuses des oeuvres (pour les malvoyants peut-être?). Plusieurs possibilités : le QR code général que vous pour télécharger toute la visite, toutes les infos et vous les retrouverez à la maison d’ailleurs -fini les épais catalogues, moins de papier et ça c’est bien- ou alors à l’entrée de chaque salle, un autre QR code vous évite de chercher dans la catalogue général. Ou les 2, comme moi.

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Nelly Alard 💗 en 7 QUESTIONS pour son livre «La vie que tu t’étais imaginée» 👏🏻👏🏻👏🏻

Nelly Alard est l’auteur de Crieur de nuit, prix Roger Nimier 2010, et de Moment d’un couple, prix Interallié 2013.

Qui êtes-vous Nelly Alard ?

Quel challenge, résumer en quelques phrases ce qu’il m’a fallu si longtemps pour découvrir !! Bon. Essayons. D’un point de vue génétique, du côté maternel comme paternel mes ancêtres sont bretons depuis la nuit des temps, mon père côté sud (Lorient), ma mère côté nord (Morlaix), quant à moi j’ai grandi à Brest.

C’est une photo de la pièce « Amphitryon » de Molière mis en scène par Jacques Lassale avec laquelle j’ai fait une tournée dans les pays de l’Est en 1988-89. »

Passionnée par le théâtre dès ma plus tendre enfance sans savoir comment ça m’est venu puisque je n’y avais jamais mis les pieds, j’ai passé mon enfance à lire des livres pas toujours de mon âge, à jouer à la princesse et à apprendre par coeur des scènes entières de Corneille en jouant tous les rôles. Mais comme j’étais, par ailleurs, bonne en maths et que devenir actrice, dans ma famille, était à peine plus une option que devenir princesse, j’ai fait des études scientifiques et j’ai intégré une école d’ingénieurs à Paris.

Et là que commence l’aventure du cours Florent…

Oui j’ai rencontré pour la première fois, au Cours Florent des gens qui envisageaient sérieusement de faire de la comédie leur métier. Et que je me suis dit : pourquoi pas moi? Donc sitôt mon diplôme obtenu, j’ai passé le Conservatoire de Paris, j’ai été reçue et je suis devenue comédienne. La suite – mes bonheurs et ma désillusion quant au métier d’actrice, ma brève carrière à Hollywood, mes innombrables rôles de «veuves suspectes» dans des séries télé et comment je suis venue à l’écritureje la raconte dans «La vie que tu t’étais imaginée».

Autoportrait Nelly Alard (site web Perso 🔝)

Aujourd’hui vous êtes romancière…

Oui, pour mon plus grand bonheur, je suis romancière et scénariste pour la télévision, deux formes d’écriture qui se complètent et s’équilibrent merveilleusement bien,  je vis toujours à Paris, j’ai trois grands enfants que j’adore,  et je n’éprouve plus du tout le sentiment d’imposture que j’ai trimbalé si longtemps… Bref, «après bien des années d’errance», comme le chante Barbara, j’ai (enfin) l’impression de savoir qui je suis et d’être à ma place !

Il est temps de vivre la vie que tu t’étais imaginée » Henry James

Très jolie citation en introduction de votre roman… qui fait un peu écho à votre propre vie non?

cliquez ici Trailer réalisé par Nelly Alard 👏🏻

Ce livre est l’histoire d’une enquête que j’ai menée tout au long de ma vie (à mes moments perdus, je vous rassure, pas à plein temps…) pour tenter de percer le mystère de «L’enfant de Sassetôt», cet enfant secret que l’Impératrice Elisabeth d’Autriche (Sissi) aurait mis au monde clandestinement en Normandie lors d’un séjour de chasse.

Cette enquête très personnelle sur l’énigme de « l’enfant de Sassetôt » est son 3ème roman…. « pure légende » ? quel suspens pour ce « Romanquête » !

EDITIONS GALLIMARD

Décembre 2019 – 460 pages 21€

dispo en ebook sur vos plateformes habituelles

Tous les historiens s’accordent à dire que c’est une pure légende, et que la comtesse Zanardi Landi, qui prétendait être cet enfant caché, était une mythomane, ce dont moi-même j’étais assez convaincue. Mais ce qui m’intéressait particulièrement dans cette histoire était que cette comtesse Zanardi Landi avait eu une fille, Elissa, qui était devenue une star à Hollywood dans les années 30, à la fois princesse et actrice donc, réunissant à elle seule tous mes fantasmes de petite fille. Mystérieusement, bien qu’elle ait travaillé avec les plus grands (Cary Grant, Humphrey Bogart, Laurence Olivier…)

Elissa Landi n’avait laissé aucune trace dans l’histoire du cinéma et lorsque j’ai commencé mes recherches il n’existait sur elle que quelques articles des journaux « people » de l’époque qui mentionnaient comme un fait avéré qu’elle était la petite fille de l’impératrice Elisabeth.

Elissa Landi au piano avec Lewis Stone dans le film « Always Goodbye »

Et votre enquête change de cap comme si il lui poussait des ailes…

Mon enquête en serait sûrement restée là faute d’éléments nouveaux si grâce au développement d’Internet, je n’avais pas retrouvé la trace de la fille d’Elissa Landi, Caroline, une Américaine de 70 ans qui vit à New-York et qui m’a ouvert toutes les archives et la correspondance familiale, me confiant très explicitement la mission de découvrir enfin la vérité sur cette affaire, dont elle ne savait elle-même pas grand-chose. D’autant plus que sa mère, Elissa Landi, était morte alors que Caroline n’avait que quatre ans et qu’elle n’avait d’elle aucun souvenir.

J’ai donc entrepris d’écrire ce livre, d’une part pour livrer le récit et les conclusions de mon enquête, mais aussi – surtout, peut-être – pour raconter à Caroline l’histoire de sa mère, Elissa Landi, et de sa grand-mère, la comtesse Zanardi Landi, qui se sont révélées être deux personnalités incroyablement attachantes et dont les vies entrent en résonance, à bien des égards et de manière très troublante, avec la mienne…

… d’où la coloration très intime et personnelle de ce récit. Ce qui explique que ce livre soit si important pour moi … Et aussi si difficile à résumer! (rires)

Mon avis, chronique littéraire qui ne s’arrête jamais tant j’ai à dire, tant j’ai aimé ce livre, ces destins de femmes passionnées, impressionnantes, toutes… mêlées intimement à la vôtre Nelly Alard !

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C’est très différent de ce que vous écrivez habituellement…

Oui, sans aucun doute, bien que je n’ai à proprement parler aucune habitude en la matière. Je n’ai écrit que trois romans, tous trois très différents les uns des autres. Mais celui-ci par sa complexité même et son imbrication avec ma propre vie, est un objet unique. Je n’écrirai certainement rien d’autre qui y ressemble.

Vous êtes modeste, Nelly, c’est tout à votre honneur, justement comment le classer celui-ci? Biographie? Documentaire historique? Autre?

Autre !! J’aime bien «romanquête»… Cela dit, je n’ai rien inventé. En mêlant une part autobiographique au récit d’une enquête et d’une écriture, je marche quand même sur les traces d’un Emmanuel Carrère avec son Roman russe, d’un Laurent Binet et son Hhhh,  d’un Philippe Jaenada…

Votre livre a reçu un excellent accueil Nelly je repense notamment aux chroniques élogieuses d’Olivia de Lamberterie à TeleMatin et dans le magazine ELLE , qui m’a donné envie de vous découvrir d’ailleurs…

Modestie à part, mes deux premiers romans ont tous deux en leur temps eu d’excellentes critiques et, « Moment d’un couple » s’est en outre très très bien vendu – beaucoup mieux que celui-ci, j’en suis malheureusement assez sûre, surtout compte tenu de la situation actuelle. Mais il est vrai que celui-ci déclenche un enthousiasme particulier de la part des gens qui l’apprécient, et qui sont sensibles à son aspect très personnel et inclassable. J’en suis évidemment très heureuse, car c’était loin d’être gagné d’avance…

Ce livre ne ressemble à rien tant il est singulier. » Olivia de Lamberterie

C’est un « Happy endings » !

Ecrivez-vous un nouveaux roman ? d’un nouveau genre encore peut-être ?

Trop tôt encore… Je joue avec quelques idées mais pour le moment je vais reprendre mon activité de scénariste et travailler en particulier à l’adaptation de « Moment d’un Couple » en mini-série pour la télévision. Et surtout, je peaufine avec ma traductrice Grace Mac Quillan la traduction en anglais de «La vie que tu t’étais imaginée» afin que Caroline puisse le lire…

Un mot sur votre vie confinée ?

Non, comme beaucoup d’auteurs doivent vous le dire, le confinement n’amène pas de très grands changements dans ma vie. Je travaille (presque) autant que d’habitude, mais je passe beaucoup plus de temps à désinfecter les courses et à coudre des masques en tissu pour ma famille et mes amis !

Peut-on lire et écrire en même temps

C’est le problème. C’est difficile.

Et sur le haut de votre pal c’est lequel?

Ma pile de livres à lire est toujours aussi impressionnante, car à mesure que je lis de nouveaux livres se rajoutent. Par exemple cette semaine j’ai lu (avec grand plaisir) les livres de Tatiana de Rosnay, Frédérique Deghelt et Shumona Sinha, invitées comme moi à La Grande Librairie en mode «confiné» (voir vignettes en bas de page). J’avais déjà lu et apprécié celui de Gaëlle Nohant qui faisait partie de la première sélection de prix Anaïs Nin dont je suis la co-fondatrice avec Capucine Motte. J’ai tout de même réussi à relire, en anglais, Washington Square d’Henry James et The Great Gastby de Fitzgerald, pour me réimprégner de la musique de la langue au moment de relire la traduction de mon livre. Mais je rêve d’avoir le temps de relire les grands classiques que j’ai aimés et confinement ou pas, je n’en trouve jamais le temps…Donc sur le haut de ma pile j’ai toujours la Cousine Bette et Splendeurs et Misères des Courtisanes – mais aussi le livre d’Olivia de Lamberterie «Avec toutes mes sympathies » que j’avais raté au moment de sa sortie et que j’ai très très envie de lire avant tout le reste.

Et les Réseaux Sociaux on en parle? Nouveau support d’écriture ou de promotion?

En fait je suis toute nouvelle sur les réseaux sociaux. J’ai résisté jusqu’en décembre dernier où je me suis décidée à les utiliser pour la promotion de mon livre et je m’en félicite aujourd’hui car au vu des circonstances actuelles, heureusement que vous êtes là! Donc ma blogueuse et instagrameuse préférée… c’est vous ! Et Agathe-the-book, qui m’a fait la première une très jolie critique sur son blog, et que je remercie ici, ainsi que Dan Burcea, les Miscellanées de Cookies, les lectures de Marie et tous ceux/celles que  j’oublie …

Nelly je vous remercie infiniment et je vous souhaite plein de courage jusqu’à la fin du confinement et pour vos projets en cours! On croise les doigts pour un succès croissant de «La vie que tu t’étais imaginée» et le retour à une vie culturelle et littéraire qui nous manque tant!

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7 questions à Sophie de Baere pour son livre « Les Corps Conjugaux »

paru le 22 Janvier 2020 aux Editions JC Lattes

Alors puisqu’on ne peut plus flâner dans nos librairies à la recherche de notre prochain coup de 💙 livresque, on peut toujours dégoter une perle parmi nos livres dépoussiérés et ceux de nos proches… Moi j’ai décidé de profiter de ce temps pour contacter, discuter, échanger avec des auteurs, mes favoris du moment (évidemment cela aurait été plus difficile avec Romain Gary…🤣) et transposer ces intenses discussions téléphonées ou par messagerie…

e-mails… e comme épistolaire !

📚 Mon AVIS DE LECTURE Instagram

©️photo Renaud Savignard

Un temps, elle a vénéré l’esprit maternel de sa cadette, admiré cette femme d’à peine trente ans qui avait choisi de tout perdre pour protéger sa famille de l’infamie. »

Merciiii de m’avoir répondu « Bien sûr, avec grand plaisir Emmanuelle » en ce 1er jour de confinement..

Pour commencer, qui êtes-vous Sophie de Baere ?

Je vis sur les hauteurs de Nice avec ma petite famille recomposée. Je suis également la maîtresse de charmants élèves d’une dizaine d’années dans une école élémentaire située sur les collines. Dans le cadre de mon métier, je me suis particulièrement intéressée à l’enseignement de la philosophie associée à la littérature jeunesse. L’an dernier, j’ai d’ailleurs eu la chance de faire un travail de recherche avec l’éminente Edwige Chirouter qui a une chaire à l’Unesco destinée à promouvoir la philosophie auprès des enfants. Passionnant.

Voilà pour les présentations officielles. Dans un registre plus personnel, je dirais que je suis une personne très contemplative. Ce n’est pas un hasard si je me suis éloignée du centre-ville de Nice. J’ai besoin de calme, de silence. Écrire me permet d’ailleurs de reprendre ma respiration au sein d’un monde que je trouve souvent trop frénétique pour moi ! J’aime me retrouver dans cette bulle de mots, dans ce moment solitaire où je suis paradoxalement « en vérité » au sein même de la fiction. J’aime me laisser traverser par mes personnages, j’aime qu’ils me dépassent, qu’ils me racontent leur histoire au creux de l’oreille.

Dites, vous ne chômez pas! Un premier livre «La Dérobée» publié aux Editions Anne Carrière en avril 2018 et celui qui m’a fait vous découvrir « Les Corps conjugaux » en janvier 2020… Ont-ils été écrits dans cet ordre? Ou seriez-vous du genre à en avoir plusieurs dans votre tiroir ?

Oh… Non, non, pas du tout … ! J’aimerais bien mais je n’ai pas de manuscrits plein mes tiroirs ! Je me suis d’ailleurs mise à écrire des romans très récemment. J’ai beaucoup lu et écrit de petites histoires lorsque j’étais enfant puis adolescente. Mon professeur de 4ème m’appelait «La petite écrivaine ». Et puis devenue étudiante, en pleine quête existentielle, je me suis mise à lire pour comprendre. Des ouvrages de philosophie, beaucoup de presse, d’essais. Je n’étais plus dans la recherche de la vibration romanesque. L’arrêt de la lecture de romans est allée de pair avec l’arrêt de l’écriture. L’envie d’écrire a resurgi quand mon fils a eu 8 ou 9 ans et qu’il a commencé à avoir moins besoin de sa maman ! L’écriture est vite redevenue un besoin essentiel. Mon premier roman « La Dérobée est né en 2018 puis quelques mois après sa sortie, j’ai écrit « Les Corps conjugaux ». Et en ce moment, j’écris le prochain… 

Racontez-nous «Les Corps conjugaux» ….

Dans ce deuxième roman, j’avais envie de parler d’une disparition volontaire, de celles qu’on évoque peu et qui pourtant concernent des milliers de personnes chaque année en France. Je souhaitais explorer les raisons susceptibles de pousser à un tel choix ainsi que ses conséquences, tant pour le disparu que pour ses proches. Et puis, je suis tombée sur un fait divers incroyable et glaçant et en même temps très romanesque, digne des plus grandes tragédies grecques. C’est là que sont nés les personnages d’Alice, de son époux Jean et de leur fille Charlotte : du jour au lendemain, Alice jeune mère et épouse épanouie, apprend un secret de famille qui la met face à l’impossibilité d’aimer son mari et qui la pousse à fuir et à abandonner l’enfant qu’elle aime plus que tout. A travers l’histoire d’Alice, c’est tout le tragique de notre condition humaine que je voulais faire ressentir. Ce destin fait de variations entre désespoir et bonheur, lequel peut être détruit en un instant. L’histoire d’amour de Jean et Alice est aussi une parabole de toutes les histoires d’amour empêchées. J’y interroge le poids de l’amour, sa profondeur. Jusqu’où peut-on aimer ? Que pèse la morale, la norme face aux choix instinctifs et sensibles ?

©️photo bandeau @istock

« Histoires d’amour empêchées »

Ce deuxième roman est un succès de librairie, pour preuve ces chroniques publiées dans des quotidiens à gros tirages « 20 Minutes » le 30 janvier dernier ou tout récemment dans NICE-Matin le 4 avril… Et je ne vois que des 4 et 5 * sur les sites de conseils de lecture comme Babelio, Lecteurs.com, DejaLu…. Félicitations, c’est mérité alors je me dépêche avant de ne plus pouvoir vous aborder! Lol

Quel effet cela fait-il ?

C’est vrai que dès la sortie du livre, j’ai reçu de nombreux témoignages de lecteurs. Des ressentis très émouvants, souvent bouleversants. Les Corps conjugaux est un livre dérangeant car il traite de plusieurs tabous : de l’abandon d’un enfant bien sûr mais aussi d’un tabou encore plus fort que je ne révèlerai pas ici. Me mettre dans la peau d’Alice n’a donc pas été simple pour moi, je me suis beaucoup interrogée. Ce fut un chemin sinueux, parfois douloureux. Alors découvrir que mon texte émeut et questionne autant me touche énormément.

Articles dans la Presse : ici Nice-matin

Où se procurer les nouveaux livres ? Sur le site de la Fnac par exemple Les corps conjugaux en numérique à 15€ (rupture déjà de la version papier sur ce site!) ou attendez sagement la réouverture de nos librairies chouchou 🎉

Un bon côté du confinement actuel est le temps dont nous disposons pour lire… Pour ma part, c’est aussi l’occasion de « rencontrer » les auteurs qui m’ont émue, comme vous… Et vous, comment occupez-vous vos journées?

Je ne suis pas à plaindre car je dispose d’un grand jardin et d’une nature environnante magnifique et apaisante. Mes journées sont essentiellement consacrées à mon travail avec mes élèves et à la surveillance des devoirs de mes adolescents. Le reste du temps, je le passe à jardiner, à bricoler, à jouer aux jeux de société ou aux cartes, à appeler mes proches, à lire et bien sûr à écrire… 

et la musique on en parle???

Oui, la musique fait partie intégrante de ma vie. Je suis très chanson française. Souchon, Delerm, Barbara, Biolay,…  Avant d’écrire mon premier roman, j’avais d’abord commencé par écrire des textes de chansons mis en musique par mon compagnon. Et si le confinement n’avait pas eu lieu, il était prévu que nous proposions des lectures musicales autour des Corps conjugaux. Nous l’avions déjà fait autour de La Dérobée dans des librairies, médiathèques et festivals. C’est une autre manière de faire vivre le texte, d’en faire jaillir les émotions, chaque chanson correspondant à un thème ou un personnage du roman. M6 avait d’ailleurs consacré un reportage à cette manière assez inédite de revisiter un roman à travers une alternance de lectures d’extraits et d’interprétation de chansons originales.

Pardon pour cette indiscrétion mais écrivez-vous toujours dans votre lit ? (lu dans une Interview donnée au Festival du Livre de Nice 2018, pour son 1er roman)

Oui, essentiellement au lit ! Et lorsque j’écris, il est vrai que je lis peu. J’ai déjà peu de temps pour me consacrer à ma passion d’écrire alors il m’est tout simplement difficile de faire les deux en même temps !

Votre lecture du moment?

Si c’est un homme» de Primo Lévi. Je ne l’avais jamais lu et j’ai eu tort d’attendre si longtemps. Et puis on ne lit jamais assez sur l’holocauste. Nous avons tous un devoir de mémoire.

Et sur le haut de votre pal c’est lequel?

Femmes qui courent avec les loups» de Clarissa Pinkola Estès. Ce livre m’a été offert par une amie très chère qui m’a affirmé qu’il s’agit là d’un ouvrage essentiel sur l’identité féminine. Je vais donc me laisser tenter !

Un mot sur vos fidèles blogueurs littéraires, instagrameurs qui vous soutiennent…?

Juste un très grand merci d’être là, de partager vos ressentis de lecteurs et lectrices, de soutenir les auteurs et autrices que vous aimez ! Et en cette période où les livres ne sont plus sur les étals des libraires, c’est une jolie manière de continuer à les faire exister.

4eme de couverture
330 pages – 21€

Je vous remercie Sophie pour nos nombreux échanges, dans l’attente de nous rencontrer à Nice

d’ailleurs, pour un prochain post « Nice-tourisme » pourrions-nous connaitre vos bonnes adresses de Nice et alentours !?

J’adore flâner sur la place du Pin où j’ai habité quelques temps. On y trouve de très bons restaurants comme Chez Paulette par exemple. J’aime aussi beaucoup me promener sur les sentiers maritimes de la Riviera et m’arrêter pour déguster un petit quelque chose. Par exemple, les pâtes aux truffes du Bistrot L’étoile du Port de Saint-Jean-Cap-Ferrat sont sublimes et j’adore prendre un verre au Cosmo à Villefranche-sur-Mer. Sinon, plus dans les terres, je recommande L’Auberge du Rédier à Colomars. La formule du midi en semaine est d’un excellent rapport qualité-prix et son décor un peu suranné est plein de charme et d’authenticité.

  • 1 Nice place du Pin et sa route bleue
  • Nice La Promenade et ses chaises bleues
  • L’hôtel Negresco
  • Petit port de Villefranche-sur-Mer
  • ©️photos EmmanuelleM06 🙏🏼
Publié dans BEAUTE, C'est nouveau!, cosmetiques, santé, soins experts

Prenons le temps de préparer notre peau au soleil!

CONFINEMENT de PRINTEMPS 🌸

Quel plaisir de se découvrir d’un fil en ce mois d’avril !

avec ses températures supérieures aux normales de saison, un peu partout en Europe, le confinement imposé et salutaire est aussi l’occasion de prendre soin de notre peau au quotidien. Elle est en mode « préservée » pour la majorité d’entre nous puisque moins agressée par la pollution (mais peut être pas moins au stress je vous l’accorde)

A nous le soleil et la plage cet été 🏖 avec une jolie peau légèrement hâlée mais à la condition qu’elle soit bien préparée !

Les compléments alimentaires évidemment ! Vous connaissez tous Oenobiol qui a rendu populaire les fameuses capsules qui préparent la peau au soleil! Moi j’ai choisi cette année de commencer les festivités avec le cocktail Terracotta du laboratoire Byocite. Ce n’est pas la cure la moins chère du marché (3 mois 50€ environ mais la formule me paraît complète avec mélanine, tyrosine et cuivre.

Fluide et sérum de VitamineC
pour une belle peau
Effaceur de Rides

Les soins solaires sont de purs produits de plaisir aujourd’hui parfums, textures…

J’ADOOOOOORE et je ne suis pas la seule, les notes pétillantes orange douce et petit grain, des laits, crèmes, huile, avec leur touche sensuelles de tiaré et coco, avec pour tous les produits un accord solaire vanille et muscs blancs… les utiliser c’est déjà être un peu en vacances au soleil donc à utiliser sans modération dès le 1er petit rayon de soleil, en terrasse ou au jardin, exposés ou pas (on peut lire à l’ombre, ou jardiner à l’abri d’un grand chapeau et se faire plaisir quand même)

Alors qui propose une formule qui cible 100% des rayons ?!? NUXE que je recommande souvent aux amis(es)😉 pour leurs parfums qui sentent les vacances, inégalés et addictifs

0% paraben
0% huile minérale
0% octocryléne
0% propylène glycol

Pas un chat dans les rues mais pour les plus chanceux qui ont jardin ou terrasse le soleil peut avoir déjà quelques conséquences et nous gâcher notre confinement ! 🍀

Avec ces quelques recommandations cet été entre les bains et le sable, nous éviterons les mauvais coup de soleil 🌞🤣😂
Occasion de remettre ici mon article sur les crèmes solaires 🧐 car mes soins solaires des laboratoires SVR sont arrivés avec les premiers rayons du soleil 🌞

Post en direct de la plage☀️🏖

les chapeaux sont partout, redevenus à la mode, profitons-en !

Mon préféré pour le visage, c’est Extrême spf50, un gel ultra-mat et multi-résistant, non gras, qui pénètre rapidement, pour une application express c’est idéal👌🏼😉
et pour le corps l’huile spray en spf50 -c’est encore trop rare- la 1ère huile sèche haute protection que j’ai trouvée sur le marché, et surtout à la clef, un résultat que tout le monde m’envie : une jolie couleur de peau, abricotée.

J’peux pas j’ai bientôt piscine!


Pour toute la famille mais pour les enfants de moins de 12 ans je préconise quand même des crèmes ou laits car vous en profiterez pour « nourrir » leur jeune peau alors qu’ils y sont souvent réfractaires ! 😉


ATTENTION « les rayons du soleil sont
TOUS LUMINEUX
TOUS DANGEREUX ☺️
Nous savons que nous devons nous protéger
alors petit rappel avec un moyen mnémotechnique simple :
UVA : A comme Age (photo-vieillissement Et à l’extrême, cancers cutanés)
UVB : B comme brûlure ou bronzage… on continue les devoirs de vacances :

Le saviez-vous ?
les filtres UV de nos soins solaires ne stoppent que 10% de la totalité des rayons solaires!

Ahhhh vous savez comme je suis attachée à nos cosmetiques français -cocorico- mais soyons européens, plus que jamais en ces temps de crise internationale et apprécions à leur juste valeur les produits solaires anti-âge issus de la médecine esthetique. Bravo à ce laboratoire espagnol, (Madrid) qui sur moi les soins notamment anti-taches ont donné des résultats spectaculaires.

ASTUCE : ayez toujours sur vous un tube de crème -spf50 minimum- dans votre sac pour en remettre toutes les 2h sur les mains : non seulement vous éviterez leur dessèchement (pour conserver le coté potelé sur le dessus) mais vous retarderez l’apparition des taches on va dire, « de maturité »? Lolll

VRAI / FAUX ?
On bronze à travers une vitre, une fenêtre, un pare-brise… non Faux !
➡️Les vitres stoppent les UVB
➡️malheureusement pas les UVA donc accélération du photo-vieillissement voire des cancers cutanés ➡️Il faut utiliser des soins solaires qui neutralisent l’ensemble du spectre lumineux.


pour apaiser, soigner sa peau, garder son bronzage plus longtemps on utilise des crèmes et laits nourrissants comme

  • le lait fraîcheur après-soleil SVR -gros tube bleu-
  • le lait velours après-soleil de NUXE oui même l’huile prodigieuse
  • le UV-BRONZE après-soleil des Laboratoires FILORGA qui non seulement est en gel donc pénètre vite, est nourrissant en profondeur -point fort des cosmetiques Filorga- mais contient un booster de bronzage et donc cela mesdames, pour notre confinement sans accès à la plage, c’est tooooooooop

EXCELLENT PRINTEMPS A TOUS !

MERCI DE VOTRE ATTENTIVE LECTURE !

j’attends vos questions et ou commentaires

Publié dans C'est nouveau!

BON PLAN E-BOOKS < 4€ !

Encore un BON PLAN très chers amis !
Si vous êtes un peu « pommés »
APPLE propose des dizaines de Ebooks entre 2,99 et 3,99€
Et pas que des navets!
Moi je vous conseille G. Legardinier pour tous les âges et pour bien rigoler
Celui de l’écrivaine Ovaldé pour s’évader
P. Coelho pour rêver et méditer
Et « l’Affaire Pélican » du film, vous vous souvenez ?
Ou le Grangé pour bien flipper!!
📚
Bon week-end lectures à vous !!!!
😘😘😘💪🏼😍💪🏼😘

Publié dans A LIRE, C'est nouveau!, CULTURE & LOISIRS, ENTRE FILLES Girly secrets

Entretien avec Stéphanie Rohant, écrivaine

pour la sortie de son thriller « ADELE »

aux Editions du Panthéon le 20 mars dernier.

Bonjour Stéphanie! je vous remercie de m’accorder cette interview afin de tout connaitre de l’auteure de ce roman pour le moins singulier mais avant d’en parler, pourriez-vous nous dire qui est Stéphanie Rohant ?

Je suis née en province, heureuse maman de deux filles ; J’ai exercé dans des domaines d’activité différents.. J’ai adoré être wedding-planner ou gestionnaire de patrimoine… Je suis une autodidacte!

Ah oui en effet toujours à votre compte, et écrivaine aussi ?

#instagram bien sûr !

J’aime entreprendre, sans filet mais avec une conscience professionnelle. Je vais au bout de l’aventure et ce même si le parcours est semé d’embûches. Ce qui fut le cas pour la parution de mon premier ouvrage. J’ai dû me battre, affronter les hautes autorités étatiques, mais frondeuse jusqu’au bout des ongles, je ne me laisse pas abattre.

Et lectrice sans doute?

Pendant de nombreuses années, j’ai lu des policiers, Maigret, Grangé, puis j’ai eu ma phase Stephen King, Henning Mankell que j’aimais beaucoup, Mickael Connelly, James Ellroy, Stieg Larson…

Mais lorsque j’étais plongée dans l’écriture d’Adèle, je lisais tout sauf des policiers! J’avais besoin de rester concentrée sur mon plan, mes recherches et mes personnages.

Alors justement, parlez-nous de votre livre, ce polar vraiment étonnant en plus d’être palpitant puisque il s’agit… comment pourrait-on le définir, un thriller érotique? et franchement sanguinolent aussi un peu quand même (rires) d’où vient cette inspiration macabre ?

ah ah oui, c’est vrai ! Suite à l’immense succès de 50 nuances de Grey, j’ai eu envie de surfer sur cette vague de l’érotisme. Le constat a été, par le biais de ce livre sans appel : les femmes aiment parler entre elles de sexualité sans aucune gêne, aucun tabou. Je me suis demandé comment installer des scènes érotiques dans lesquelles les femmes s’abandonnent dans un décor de velours et soudainement plonger le lecteur dans une enquête haletante.

Je confirme l’intrigue est vraiment haletante, quelles sont les contraintes que vous vous êtes fixées… et surtout qui est ADELE…?

Adèle, mon héroïne, est confrontée à un tueur en série. Elle n’a pas les codes, elle doit apprendre sur le terrain , s’entourer de personnes chevronnées, mettre son affect de côté, et ne pas faillir lorsqu’elle assiste à la découverte des corps. Je voulais trouver le bon tempo et promener le lecteur dans des univers très différents; travailler mes personnages à la psychologie tourmentée et trouver des lieux. Paris sonnait comme une évidence. La capitale des amoureux devenait le terrain d’un jeu macabre…

En effet vos personnages sont réellement travaillés et crédibles, existent-ils dans votre réalité pour que vous soyiez ainsi inspirée?

Chaque personnage est le fruit de mon imagination. Mes contemporains m’aident beaucoup… Des hommes d’affaires, une actrice, un homme politique, une juge au tempérament impétueux qui a fait trembler la classe politique, la voix d’un journaliste, la gestuelle d’une parfaite inconnue en face à face avec son amoureux, son amant sans doute, dans un restaurant branché de Paris… La liste est longue et non exhaustive. (rires)

Chaque lieu dans Adèle, a été visité, photographié. Désormais mon grand classeur est refermé…mais il reste près de mon bureau.. Je ne peux m’en défaire, pour le moment…

Tout de même les scènes de torture qui nous font frissonner d’effroi et limite fermer les yeux comme devant un film d’épouvante !? Il a bien fallu vous documenter un peu non, rassurez-nous? Lolll

Les recherches ont occupé la moitié de mon temps de travail. Je suis méticuleuse et j’ai besoin de maîtriser et de comprendre pour avancer. Des heures de lectures sur les tueurs en série, des ouvrages sur l’univers carcéral,  policier; la médecine légale aussi. Assister à une autopsie, pour de vrai! et donc avoir les nerfs à vif, j’ai meme perdu mes repères… car j’ai pu entendre une femme flic, qui là, dans cet espace ô combien étouffant et anxiogène, s’est même confié à moi sur la réalité de cette vie, de ce métier… La réalité du terrain, les nuits sans sommeil, les larmes de lassitude, l’envie d’arrêter toutes les ordures qui s’en sortent, impunis… J’admire ces femmes. J’admire Martine Monteil première femme à avoir diriger les plus grandes brigades centrales parisiennes dont le 36 Quai des Orfèvres. Une main de fer dans un gant de velours…

Est-ce difficile de quitter cette atmosphère, vos personnages maintenant que le livre est achevé et publié ?

Je suis très attachée à mes personnages et je suis chagrinée et tiraillée si une personne se moque d’un personnage comme Jacquot par exemple, c’est un SDF et non un clochard… parce que malheureusement une vie entière peut basculer du jour au lendemain et on peut tout perdre…

Je suis très sensible….un peu trop à mon goût… toutefois, j’adore mes méchants ! (rires)

Et puis je lis, je marche, et je prends le temps d’être avec mes filles, qui ont ce don de me distraire. Elles sont très joyeuses et adorent se moquer de moi.

Vos filles oui…. Quels livres leurs conseillez-vous de lire et à tous vos lecteurs ?

« 24 heures de la vie d’une femme » de Stefan Zweig. Je suis amoureuse de cet auteur. C’est un texte court, intemporel et qui nous fait passer un merveilleux moment. Il parle de la femme avec une extrême sensibilité.

Et aussi LE livre qui m’a donnée envie de lire : « Madame Bovary » de Gustave Flaubert, mon premier grand roman, lu à 12 ans; dévoré lors d’un été caniculaire. Maman voulait m’occuper et elle m’a convié à lire les grands.…Zola, Maupassant, Balzac, et la fabuleuse Agatha Christie!

Et aujourd’hui comment vivez-vous le confinement?

Ce qui est bien étrange c’est que j’ai relu « La Peste » d’Albert Camus il y a trois mois… Pour mon prochain roman je faisais des recherches sur la Peste et la folie… La réalité semble rejoindre la fiction! C’est déconcertant avec la pandémie qui nous frappe…

Quand je n’écris pas, je suis avec ferveur les cours de Lucile Woodward sur internet. J’apprends la méditation, je jongle avec les pilates. Cette formidable coach me permet d’être bienveillante et en paix avec mon corps bien trop longtemps maltraité…

Ah ah vous tentez une diversion !? Les projets d’écriture en cours doivent donc rester secrets…? (clin d’oeil)

Je laisse planer le suspense….hé hé….

Ah ah je n’insisterai pas! mais une dernière question chère Stéphanie, ou un constat : le lancement de votre livre, vos moult rdv pris de conférences, signatures en librairie, tout est décalé… Mais vous ne vous laissez pas abattre comme vous le disiez, et participez activement à la promotion de votre livre puisque je vous ai « rencontrée » sur Instagram, avec votre 1er podcast de lecture d' »Adele », et entendu ainsi votre voix de velours…!

(rires) oui merciiii c’est l’initiative de ma chère @k__sandra qui a eu cette idée audacieuse et ambitieuse de faire lire des auteurs à haute voix! Un immense merci à elle et à ce réseau!

https://www.instagram.com/tv/B-JWY5HKRX8/?igshid=1dj7q7l3gpnpg

Un immense merci ma chère Emmanuelle..

C’est moi qui vous remercie de m’avoir accordé autant de temps, et d’avoir répondu avec franchise et simplicité à ma curiosité… Je vous souhaite le meilleur pour votre livre ! et à très bientôt pour une rencontre « en vrai », en librairie ou sur un salon …. Au Festival du Livre de Nice fin Mai par exemple? on croise les doigts!

Stéphanie est d’une douceur et d’une délicatesse extrêmes dans sa façon de se raconter et dans le choix de ses mots. Nous sommes restées 3h au téléphone à discuter de bien d’autres choses encore et ce fut un régal. Je vous conseille de la découvrir et de la lire! vous pouvez commander son livre -ebook – sur vos supports habituels. 510 pages 26euros.

un de ses autres ouvrages, sur la médecine notamment.

Bonne lecture à vous!

Publié dans C'est nouveau!

« Le Discours » de Fabrice Caro 📒💗💙💛

… Mais qui est ce Fabrice Caro?
Il a illuminé mon Jour6 #restezalamaison !
Auteur talentueux -et chanceux!- plus connu sous le pseudo #fabcaro dessinateur de BD, français de Montpellier donc il est forcément sympa, autant que ce 2ème roman ?! Sans doute!
En 4eme de couv. on peut lire l’avis de @oliviadelamberterie magazine @ellefr :
« Si vous n’éclatez pas de rire au premier chapitre, on ne peut rien pour vous. »
Bien dit ! Et en plus, c’est bien écrit, fourré d’anecdotes drôles ou savantes que vous pourrez aisément replacer !
Et si vous l’avez lu, vous vous souviendrez des fous-rires face à la vie tragi-comique de ce garçon lisible et prévisible, si indécis, naïf, presque niais…. ou trop intelligent ? Surdoué et visionnaire ? Qui sait…?
On lui demande de préparer le discours de mariage de sa sœur…
summum de l’horreur, insurmontable, alors qu’il ne pense qu’à son ex, Sonia et il se repasse le film de leur vie commune, inlassablement… mais est-ce bien une rupture?


J’espère que ce n’est pas une biographie parce qu’on se demande comment elle a tenu 1 an -ou au contraire la chance qu’elle avait de sortir avec ce gars-la’. Lolllll
Le champ des possibles est open!
Bonne lecture à vous!
🙌🏽📚🔝
NB accès aux 7 premières pages sur GoogleBooks 🥰
💖

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